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L’Église Saint Bernard à Lyon

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L’Église Saint Bernard à Lyon a été  construite de 1857 à 1866 par l’architecte Tony Desjardin dans un type gothique rayonnant. Sa particularité : elle n’a pas jamais été terminée et n’a jamais été réellement utilisée. A cette église, il manque un clocher et un parvis. Un autre signe distinctif de cette église sont des vitraux signés Lucien Bégule. Désacralisée en 1999, elle est aujourd’hui fermée.

Église Saint Bernard

croix rousse eglise saint bernard

Église Saint Bernard

L’église est en mauvais état pour différentes raison. La première de ces raisons est le réseau de sous terrains qui sillonne en dessous d’elle. En effet, sous l’Église Saint Bernard sillonnent le réseau des Fantasques donnant accès aux arêtes de Poisson. Toutes ces galeries font bouger l’Église qui menace de s’écrouler. De plus, étant donné que cette église n’a pas été terminée, il lui manque un contrefort pour assurer sa stabilité.

Quelques travaux ont été effectués par la ville pour éviter qu’elle ne s’écroule. Mais ce ne sont que des rafistolages ; des étais ont été posés pour consolider l’église Saint-Bernard de Lyon. A l’époque, en 2001, un devis pour la restauration chiffrait le montant des travaux à 6.5 millions de francs.

Intérieur Église Saint Bernard

Echaffaudage Église Saint Bernard

Echaffaudage Église Saint Bernard 2

La deuxième raison du mauvais état est induite par des dégradations volontaires sur les vitraux et à l’intérieur de l’église. Une partie des vitraux, créés par Lucien Bégule et d’inspiration de ceux de l’atelier Saint Ferdinand, ayant été caillassés.

Vitraux Église Saint Bernard

Vitraux Église Saint Bernard

Vitraux Église Saint Bernard

Vitraux Église Saint Bernard

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Souterrains Lyon

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Les Souterrains Lyon ils sont nombreux. Si de très nombreuses entrées des souterrains ont été, au fil des années, condamnées, nombre d’entrées persistes et sont connues des seuls initiés. Connaissant certains de ces entrées, nous ne les publierons pas directement sur le site.

Nous pouvons cependant les partager avec d’autres urbexeurs et cataphiles ayant la même philosophie de découverte, de protection et de respect de ces souterrains.

Le réseau souterrain Lyonnais est très vaste, complet et disparate. Nous nous efforçons à dresser une liste non exhaustive et que nous complétons au gré de nos explorations et réceptions d’informations.

 

La liste des souterrains lyonnais :

 

– Réseau des Arêtes de Poisson

Galerie Adamoli
Réseau des fantasques
Galerie Montée du Boulevard
Souterrain de la montée Bonafous
Galerie de la Place Bertone
Galerie du cours d’Herbouville
Galerie Saint-Eucher

 

– Galeries de la Croix-Rousse

Galerie de la Tourette
Galerie des Chartreux
Galerie du jardin des Plantes
Galerie Burdeau
Réseau Imbert-Colmès
Galerie Neyret
Galerie des Carmélides
Parc Chazière

 

– Galeries de Fourvière

Amphithéâtre de Fourvière
Souterrain de la montée du chemin neuf
Funiculaire désaffecté de Fourvière
Galerie St Irénée
Le souterrain du Rosaire

 

 

– Galeries sous des bâtiments

Fort de Loyasse
Souterrain de la Gare St Paul
Fort de Vaise
Fort de Montessuy

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Le Fort de Loyasse

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Le Fort de Loyasse, à Lyon, est un fort construit en pierres dorées, du XIXe siècle, construit entre 1836 et 1840. Il a été construit suite à la révolution de Juillet et dans un climat de crainte d’invasion venant d’Autriche. Il avait donc pour objectif premier de protéger Lyon des envahisseurs venant de l’est. Ce fort est lié avec le Fort de Vaise car tous deux sont situés sur l’ancienne enceinte de la Py, et fait donc partie de la première ceinture de Lyon.

Fort de Loyasse

Crédit Photos : JeanBono

Fort de Loyasse

Très vite après sa construction, le fort devient obsolète du faite des améliorations des armes défensives et plus particulièrement des canons. Sans entrer dans les détails, car nous ne sommes pas des spécialistes de l’histoire des armes, l’amélioration dont on parle consiste au remplacement des canons rayés par des canons lisses. Ces derniers ayant une portée de 2500 mètres, et utilisant de la mélinite plutôt que de la poudre à canon, les forts deviennent quasiment inutiles. Leur fonctionnalité va donc évoluer au XXe siècle. En effet, durant la Première Guerre mondiale, le fort servira de prison pour les prisonniers de guerre. Durant la Seconde Guerre mondiale, le fort sera occupé par les allemands. Si sa fonction avait évolué, le fort était toujours utilisé à des fin militaires.

Cependant, le 15 octobre 1947, le fort est déclassé militairement puis en 1949, la ville de Lyon achète les terrains aux enchères pour la bagatelle de 1,2 millions de francs et se sert alors du Fort de Loyasse comme d’un entrepôt pour la voirie, et aménage une partie du terrain en jardins pour des particuliers. Notons que le fort que nous pouvons observer aujourd’hui n’est pas celui d’origine, il lui manque une caserne qui a été détruite en 1961 afin d’élargir la montée de l’Observance et permettre la construction du boulevard reliant le nouveau quartier de l’Observance à Vaise.

Mais qu’en est-il des souterrains ? Les souterrains du Fort de Loyasse existent encore mais avaient alors la fonction de champignonnière. Aujourd’hui, si le Comité d’Interêt Local de Vaise souhaite que le Fort de Loyasse soit rénové, le Fort menace de tomber en ruine.

Escalier Fort de Loyasse

Le site est d’ailleurs strictement interdit d’accès. Les souterrains du Fort sont très typiques et portent les stigmates d’explorateurs plus intéressés par l’organisation de beuveries et la réalisation de street art que par l’architecture du lieu. Les souterrains du fort ne sont pas très vastes mais sont malgré tout très intéressant. Très dégradés, ils mènent à de grandes salles dont certaines peuvent s’avérer assez dangereuses car avec des trous dans le sol. D’autres galeries plus petites existent mais sont moins faciles à repérer et mieux vaut ne pas être claustrophobe pour s’y aventurer.

Fort de Loyasse Fort de Loyasse Fort de Loyasse Fort de Loyasse Fort de Loyasse Fort de Loyasse

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La prison Saint Paul

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La prison Saint Paul à Lyon est notre dernière exploration urbaine. La prison Saint Paul est reliée par un souterrain à la prison Saint-Joseph. Situées au sud de la gare de Perrache, ces deux prisons ont été construites au  19e siècle et sont désaffectées depuis le 3 mai 2009.

Comme nous vous le disions, ces prisons ont été construites au 19e siècle par deux architectes : Louis-Pierre Baltard et Antonin Louvier. Si les prisons sont aujourd’hui désaffectées et en cours de transformation, elles ont failli être détruite sur ordre de la Préfecture. Grâce à la très forte mobilisation de certaines associations de défense du patrimoine, un concours architectural a été lancé en 2010 afin de réhabilité ces édifices tout en conservant les bâtiments les plus anciens.

C’est le projet de la Sofade qui est retenu et qui prévoit entre autre la création de bureaux, de logement sociaux, de logements intergénérationnels, l’installation du campus de l’Université catholique de Lyon. Normallement ces projets devraient voir le jour en 2014. Je dis bien devrais car le chantier est considérable. Lors de notre dernière session d’urbex, nous n’avons eu le temps que de visiter la prison de Saint Paul. C’est immense !

prison Saint Paul

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Le funiculaire desaffecté Saint-Paul – Fourvière

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Ouvert le 6 décembre 1900, le funiculaire desaffecté Saint-Paul – Fourvière faisait 514 m et avait un écartement initial de 1,44 mètre. Ce funiculaire lyonnais reliait la gare inférieure au PLM ligne Lyon Montbrison et au tramway 9 de l’OTL et la gare supérieure au tramway Fourvière-Loyasse. Son surnom : la Ficelle des morts ! En fait, son utilisation première était d’ordre pratique : la Ficelle des morts permettait de transporter les cercueils du bas de la colline vers le cimetière de Loyasse.

Si le funiculaire Saint-Paul – Fourvière est aujourd’hui desafecté, nombre de ses éléments persistent aujourd’hui. Premier élément : la gare basse. Cette gare basse se situe à gauche de la gare Saint Paul. Au fond d’une cour d’immeuble de grandes grilles ferment aujourd’hui l’accès au tunnel qu’il est cependant possible d’observer au travers.

La gare haute quant à elle a quasiement disparue, subsistent des éléments reconnaissables ; notamment le haut de la voute du tunnel semblant aujourd’hui sortir du sol.

Enfin, le principal : le tunnel. A chacune des extremités, le boyau principal se scinde en deux tunnels permettant, à l’époque, d’avoir un tunnel d’arrivée et un tunnel de départ. Aujourd’hui, restent dans le tunnel les vestiges des anciens funiculaires : roues métalisques, rivets, quelques traverses, de nombreuses taches d’huile, etc. Le tunnel est plutôt bien préservé : très peu de tags viennent gacher ce spectacle grandiose. Il a également été renforcé par endroits.

funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière

funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière img_2584-copier funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière funiculaire desaffecté Saint-Paul - Fourvière

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Sergent Blandan La caserne et le chateau desaffectés

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C’est entre 1831 que Rohault de Fleury décide de construire le fort Sergent Blandan. Sur le terrain de la caserne se situe le château de la Motte, construit antérieurement. Le château de la Motte qui servait alors de logement pour les officiers. La caserne était au moment de sa construction et avec ses 230 mètres le plus long de France. Ca n’est qu’en 1942 que le fort va prendre le nom que nous lui donnons aujourd’hui : la caserne Sergent Blandan ; en hommage à Jean Pierre Hippolyte Blandan.

 Le château de La Motte aussi appelé La Mothe a été nommé ainsi car il a été construit sur une petite élévation afin de culminer le quartier et le protéger des inondations. Sa datation n’est pas très précise. Mais sa construction pourrait remonter au XVe siècle. Les bâtiments, flanqués de tours rondes et d’une tour carrée composent un quadrilatère irrégulier entourant une cour d’honneur. L’entrée, au sud, a conservé des mâchicoulis. Un donjon domine l’ensemble. Au XVIIIe siècle, le mur occidental fut remplacé par une terrasse. Une chapelle était encore visible au XIXe siècle.

Caserne Sergent Blandan et Chateau de la Motte

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L’Église du Bon Pasteur à Lyon

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Voila longtemps que l’on essayait de pénétrer dans la sculpturale Église du Bon Pasteur à Lyon à ce jour abandonnée ; c’est chose faite. Cette église a été construite entre 1875-1883, à l’initiative de Napoléon III en 1869, par l’architecte lyonnais Clair Tisseur.

De style roman poitevin, cette église est magnifique mais totalement inaccessible. En effet, rue Neyret, à l’entrée de l’église, aucun parvis n’a jamais été construit. La porte d’entrée se situe donc à plus de 3 mètres du sol. Depui, laissée à l’abandon, l’église a été désacralisée et est parfois utilisée comme salle d’exposition par l’École des Beaux-Arts.

Ce qui choc en entrant dans cette église ce sont ses volumes mais également son état. En effet de nombreux squatteurs, tagueurs et satanistes ont littéralement ravagés l’hôtel, les statues et certaines peintures. Heureusement, les volumes sont toujours présents pour notre plus grand plaisir.

Église du Bon Pasteur

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Le souterrain du Rosaire

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Le souterrain du Rosaire est le réseau souterrain sous la basilique de Fourvière à Lyon. Ce réseau souterrain est magnifique et permet d’arrive directement sous la Basilique de Fourvière. Sa particularité : il est possible d’y croiser l’un des pilliers qui tient l’édifice. Assez troublant de se dire que l’on est pile à l’aplomb du batiment ! L’exploration de ces souterrains n’a pas été sans mal puisque les accès sont très étroits et il faut bien le dire assez dangeureux. Une fois dans les souterrains, la marche se fait à moitier courbé et parfois même à quatre pattes, les mains dans la boue.

Ce souterrain lyonnnais tient son nom des jardins du Rosaire situés en contre-bas de la basilique et qui offrent de magnifiques points de vues sur la ville, ils rejoignent le Vieux-Lyon par la montée des Chazeaux.

souterrain du Rosaire

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Le souterrain des bassins

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Nous revoilà parti pour une exploration dans les souterrains de Lyon ! Il est des souterrains à Lyon que l’on découvre avec encore plus d’émerveillement que les autres. Le souterrain des bassins en fait parti. Si nous ne publions cette exploration que maintenant, cela fait un bon moment que nous l’avons faite en compagnie de Martin, un urbexeur Lyonnais rencontré par le biais de ce site.

souterrains de Lyon

Ces souterrains ne sont pas très connus ; c’est sans doute pour cela que les murs sont totallement immaculés. Pas un déchet, pas un seul tag à l’horizon. Nous empruntons l’une des galleries à l’entrée du souterrain et débutons notre excursion. Au bout de quelques minutes de marche, nous arrivons au pied d’un premier bassin. L’eau est claire, le bassin magnifique et surmonté d’une plaque commémorative. On peut y lire le nom des personnes qui en sont à l’origine ainsi que sa date de création : 1777. On remarque au passage que les traits de crayons à papier qui ont été tracés à l’époque pour que les lettres soient bien alignées sont toujours visibles.

Nous poursuivons notre exploration. Sur le chemin, nous tombons régulièrement sur de magnifiques calcifications. Nous arrivons enfin sur un second bassin. Comme le premier, il est en parfait état. Lui aussi est surmonté d’une plaque commémorative. On y apprend qu’il a été créé en 1775. Cette galerie débouche enfin sur une grande salle carrée. Nous revenons donc sur nos pas et revenons à l’entrée du souterrain. Nous prenons cette fois-ci la gallerie de droite. Beaucoup plus pentue, beaucoup moins large, nous en faisons rapidement le tour.

Nous ressortons du souterrain et nous prenons la direction d’un autre souterrain : les drainantes. A suivre !

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Souterrains de Lyon : Les Drainantes

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De retour dans les souterrains de Lyon et plus particulièrement dans les galeries Drainantes en compagnie de Martin, un urbexeur Lyonnais rencontré par le biais du site. En pleine refection, ces galeries sont monumentales et nous permettent de comprendre comment le service des balmes rénove nos très chers souterrains lyonnais.

Véritable chantier titanesque, la rénovation des Drainantes ne peut qu’émerveiller les explorateurs ayant la chance d’y pénétrer. Contrairement aux arêtes de poisson, il ne reste presque plus aucune de trace d’anciennes galeries. Ici, les ouvrirers creusent, renforcent et bétonnent à tout va. Par contre, ne vous imaginez pas qu’ils travaillent avec des foreuses ou autres machines modernes … loin de là.

Souterrains de Lyon galerie drainante

Après quelques pas dans les Drainantes, on tombe sur la gauche sur une première galerie. Au sol, des rails, comme de petits rails de chemin de fer et une plateforme tournante. Bien entendu, on se demande pourquoi ils sont ici. Après quelques pas, nous obtenons notre explication : une grande plateforme surmontée d’un immense seau jaune plein de terre sableuse trône au milieu de la galerie. Nous le contournons et arrivons sur un chantier en cours de réalisation.

Ce chantier consiste à poser de grandes arches métaliques dans les galeries qui ont été élargies pour l’occasion avant d’être comblées puis bétonnées. Le spectacle est magnifique et on ne peut qu’être admiratif devant les trésors d’inventivité déployés ; du grand art ! Dans les photos ci-dessous, vous pourrez voir tout cela en détail. Comme je vous le disais, vous remarquerez que, malgré ces tavaux, substistent encore quelques galeries non bétonnées.

En poursuivant notre exploration nous comprenons pourquoi ces galeries portent ce nom. La ville de Lyon débuta la construction de La Grande Drainante en 1932. D’une hauteur de 1.85 mètre, 1.2 mètre de large et d’une longueur de 1.2 kilomètre, elle transperce la colline de Fourvière d’un bout à l’autre ! Composée de neuf drains, ces derniers permettent l’évacuation les eaux afin d’éviter les poches d’eaux souterraines. On trouve donc dans les drainantes d’incroyables quantité d’eau. Pour la légende, une partie des eaux arrivant dans le souterrain mettrait plus de 1000 ans pour y parvenir.

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Le Fort de Vaise

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Le Fort de Vaise, également appelé Fort Clerc, est un peu le petit frère du Fort de Loyasse. Ce fort situé à Lyon est considéré comme un fort secondaire de part sa petite taille. Construit entre 1834 et 1848 il fait parti de l’ancienne enceinte de la Py, et fait donc partie de la première ceinture de Lyon.

fort de vaise

Crédit Photos : JeanBono

Pouvant abriter jusqu’à 60 soldats, il était relié au Fort de Loyasse par un souterrain. L’entrée dans le fort se faisait par un long tunnel masqué par deux grandes portes en chêne. Malheureusement, l’urbanisation de Lyon a eu raison d’une partie du fort en 1968 pour créer ce qui est aujourd’hui le boulevard Saint Exupéry. Aujourd’hui ne persistent que la partie basse de la caserne, quelques casemates et des fragments d’escarpes.Et les souterrains ? Aujourd’hui, ces souterrains sont ouverts au public grâce au travail de l’OCRA de Lyon. Ses membres ont proposer de réhabilité les souterrains afin d’y organiser des visites guidées. Les souterrains débutent par une longue descente dans une galerie assez étroite pour aboutir dans une première salle qui était à l’époque des postes de postes de tir. On compte aujourd’hui trois salles de belle envergure. Si l’on poursuit sa route dans les souterrains, une nouvelle galerie apparait pour aboutir sur une porte en fer gris signant la fin de l’exploration.

Fort de Vaise

souterrain fort de vaise

De petits souterrains mais à visiter absolument car rénovés magnifiquement.

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Les arêtes de poisson

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Les arêtes de poisson est sans doute le réseau le plus énigmatique se trouvant en dessous de la surface de Lyon. Plusieurs histoires sont évoquées quant à leurs origines. Dans cet article, nous allons vous présenter certaines de ces théories. La première découverte des arêtes de poisson aurait été faite en 1651 par un fontainier creusant pour alimenter les fontaines de l’hôtel de ville. Les arêtes de poisson ont été redécouverte dans les années 1930 et 1960 lorsque des cantonniers de la Croix-Rousse s’aperçurent que la chaussée s’affaissait à l’intersection des rues Grognard et des Fantasques. En 1963, un nouvel effondrement près de la rue Adamoli et de la rue des Fantasques provoquant un nouveau sondage mettant à jour de nouvelles galeries souterraines.

Notons qu’en 1989 la Ville de Lyon a voté un arrêté interdisant l’accès des galeries au public.

 

1ère Hypothèse : Des tunnels pour accéder à la citadelle royale construite à la fin du XVIe siècle

Selon un rapport du service archéologique de la ville de Lyon datant du 12 octobre 2009, les arêtes de poisson seraient un réseau de galeries ayant pour but d’accéder depuis le fleuve à la citadelle royale construite à la fin du XVIe siècle ; dont il ne reste rien aujourd’hui. Après une exploration des 34 galeries parallèles surplombées par seize puits d’aération, qui a durée six semaines, les archéologues de la ville de Lyon en sont arrivés à la conclusion que ces souterrains avaient été construit pour stocker des munitions, des armes et des vivres pour la citadelle Saint-Sébastien construite en 1564 par le roi Charles IX.

C’est en amont du percement du second tunnel de la Croix Rousse que ce rapport avait été commandé. En effet, une portion des galeries, environ 50 mètres, soit environ 4 arêtes, risquent d’être détruite pendant ces travaux.

aretes de poisson
Vue 3D du réseau souterrain – Virtual Retrospect 2009
Télécharger un extrait du rapport

Nombreux sont ceux qui contestent ce rapport et nombreux sont ceux à mettre en doute son sérieux.

2e Hypothèse : Un entrepôt de stockage du trésor des Templiers

Selon cette théorie, que l’on retrouve dans le livre de Walid Nazim, les arêtes de poisson auraient été construites au 7e siècle. A l’origine les arêtes de poisson se seraient étendues jusqu’à Miribel via les Sarrazinières pour déboucher sur les terres de Sire Guillaume de Beaujeu. Sire Guillaume de Beaujeu est le dernier grad maître des templiers connu et vécu au XIIe siècle. Les terres de Miribel et de la Croix Rousse deviennent propriété de la famille de Beaujeu lorsqu’en 1218, l’oncle de Sire Guillaume de Beaujeu épouse Marguerite de Baugé, héritière et descendante des comtes de Chalon.

Les Templiers avaient pour mission la création de cathédrales, de routes, etc. Ils ont en autre créé le temple de Salomon. Lors des croisades, les Templiers auraient amassé de nombreuses richesses qui n’auraient jamais été découvertes. Ces découvertes auraient été ramenées en occident par Sire Guillaume de Beaujeu.

C’est là qu’entre en action les arêtes de poisson. Si la paternité des arêtes pourrait être attribué aux Templiers c’est que des ouvrages similaires et surtout similaires aux Fantasques et aux Sarazinières, attribués aux Templiers, ont été découvertes en Orient ; des galeries strictement parallèles côte à côte.

Pour comprendre la suite, il est important de comprendre comment ont été construites les arêtes de poisson et comment sont organisées les galeries. Tout commence au troisième sous-sol des arêtes avec ce qui est une des colonnes vertébrale des arêtes de poisson. Elle se situe environ 10 mètres en-dessous des arêtes de poisson. Cette galerie inférieure suit exactement le même tracé que la seconde colonne vertébral du réseau, la galerie supérieure. Elle aurait servie de galerie de reconnaissance pour le creusement.

La galerie supérieure désert, elle, les arêtes de poissons. 17 galeries perpendiculaires d’une trentaine de mètres à droite et à gauche de cette galerie et mesurant environ 2 mètres de large sur 2.20 mètres de hauteur ; soit au total 34 arêtes. Cette galerie supérieure arrive sur un puits de raccordement la reliant, au niveau de la rue Magnéval, au réseau des Fantasques qui permet d’accéder à la galerie inférieure. Ce serait les services de la ville qui auraient relier ce puits à la surface pour plus de praticité. A la base, il relait surement et uniquement la galerie supérieure et la galerie inférieure.

Notons que de nombreux ossement ont été découverts dans l’une des galeries de arêtes de poisson. Selon le rapport, ce sont pas moins de 4 à 5 mètres cube d’ossements qui auraient été retrouvés en 1959. Cette découverte a été consignée sur le rapport Vae/L8747 du mois de décembre 1959 et déjà signalé dans le rapport Vae/L 8002. Décision avait été prise de laisser ces ossements sur place et de murer le tronçon de galerie où ils se trouvent.

plan galerie des fantasques

galerie ossements humains

Ce qui porterait à croire que les arêtes de poisson ont eu cette fonction c’est qu’à la première exploration, les arrêtes étaient murées. En 1846, le rapport ne fait nullement mention d’arêtes. En effet, les puits reliant les galeries inférieurs et supérieurs auraient été murées pour ne faire croire qu’il ne s’agissait que d’une simple galerie sans intérêt. En 1959, lorsqu’une nouvelle exploration est organisée, les galeries sont découvertes. Les murs donnant accès aux arêtes ont été détruit. D’où la fragilité du souterrain au niveau des arêtes et qui ont du être renforcées par la suite.

arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson arêtes de poisson

 

Le réseau des Arêtes de Poisson

Voici quelques réseaux et galeries en relation directe avec les Arêtes de poisson.

Galerie Adamoli
Réseau des fantasques
Galerie Montée du Boulevard
Souterrain de la montée Bonafous
Galerie de la Place Bertone
Galerie du cours d’Herbouville
Galerie Saint-Eucher

 

Poursuivez votre lecture avec le livre de Walid Nazim

 

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Le réseau des fantasques

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On accède au réseau des fantasques par un puits. Ce puits se situe au dessus de la galerie inférieure des arêtes de Poisson et donne directement accès à la Galerie du Gardien et nous permet donc d’accéder au réseau de Fantasques.

Le réseau des fantasques est composé de 11 puits donnant accès à six grandes salles. Si aujourd’hui il y a encore six salles, une grande partie du réseau des Fantasques a été bétonné ; il est donc pensable que d’autres salles aient existé. Leur dimension et leur construction ressemble à s’y méprendre à celles des arêtes de poisson. Elles ressemblent aussi aux Sarazinières de part le parallélisme de ses deux galeries principales. Une fois sous terre, il est même aisé de passé d’un réseau à l’autre sans vraiment s’en rendre compte.

On distingue la Grande Fantasque du Nord et la Grande Fantasque du Sud. La plus intéressant est la Grande Fantasque du Sud qui permet d’aller jusqu’à l’Église Saint Bernard, découvrir les Marches de Géant.

plan galerie des fantasques

 

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L’Église du Bon Pasteur à Lyon

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Voila longtemps que l’on essayait de pénétrer dans la sculpturale Église du Bon Pasteur à Lyon à ce jour abandonnée ; c’est chose faite. Cette église a été construite entre 1875-1883, à l’initiative de Napoléon III en 1869, par l’architecte lyonnais Clair Tisseur.

Église du Bon Pasteur

De style roman poitevin, cette église est magnifique mais totalement inaccessible. En effet, rue Neyret, à l’entrée de l’église, aucun parvis n’a jamais été construit. La porte d’entrée se situe donc à plus de 3 mètres du sol. Depui, laissée à l’abandon, l’église a été désacralisée et est parfois utilisée comme salle d’exposition par l’École des Beaux-Arts.

Ce qui choc en entrant dans cette église ce sont ses volumes mais également son état. En effet de nombreux squatteurs, tagueurs et satanistes ont littéralement ravagés l’hôtel, les statues et certaines peintures. Heureusement, les volumes sont toujours présents pour notre plus grand plaisir.

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Le souterrain du Rosaire

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Le souterrain du Rosaire est le réseau souterrain sous la basilique de Fourvière à Lyon. Ce réseau souterrain est magnifique et permet d’arrive directement sous la Basilique de Fourvière. Sa particularité : il est possible d’y croiser l’un des pilliers qui tient l’édifice. Assez troublant de se dire que l’on est pile à l’aplomb du batiment ! L’exploration de ces souterrains n’a pas été sans mal puisque les accès sont très étroits et il faut bien le dire assez dangeureux. Une fois dans les souterrains, la marche se fait à moitier courbé et parfois même à quatre pattes, les mains dans la boue.

Ce souterrain lyonnnais tient son nom des jardins du Rosaire situés en contre-bas de la basilique et qui offrent de magnifiques points de vues sur la ville, ils rejoignent le Vieux-Lyon par la montée des Chazeaux.

souterrain du Rosaire

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Le souterrain des bassins

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Nous revoilà parti pour une exploration dans les souterrains de Lyon ! Il est des souterrains à Lyon que l’on découvre avec encore plus d’émerveillement que les autres. Le souterrain des bassins en fait parti. Si nous ne publions cette exploration que maintenant, cela fait un bon moment que nous l’avons faite en compagnie de Martin, un urbexeur Lyonnais rencontré par le biais de ce site.

souterrains de Lyon

Ces souterrains ne sont pas très connus ; c’est sans doute pour cela que les murs sont totallement immaculés. Pas un déchet, pas un seul tag à l’horizon. Nous empruntons l’une des galleries à l’entrée du souterrain et débutons notre excursion. Au bout de quelques minutes de marche, nous arrivons au pied d’un premier bassin. L’eau est claire, le bassin magnifique et surmonté d’une plaque commémorative. On peut y lire le nom des personnes qui en sont à l’origine ainsi que sa date de création : 1777. On remarque au passage que les traits de crayons à papier qui ont été tracés à l’époque pour que les lettres soient bien alignées sont toujours visibles.

Nous poursuivons notre exploration. Sur le chemin, nous tombons régulièrement sur de magnifiques calcifications. Nous arrivons enfin sur un second bassin. Comme le premier, il est en parfait état. Lui aussi est surmonté d’une plaque commémorative. On y apprend qu’il a été créé en 1775. Cette galerie débouche enfin sur une grande salle carrée. Nous revenons donc sur nos pas et revenons à l’entrée du souterrain. Nous prenons cette fois-ci la gallerie de droite. Beaucoup plus pentue, beaucoup moins large, nous en faisons rapidement le tour.

Nous ressortons du souterrain et nous prenons la direction d’un autre souterrain : les drainantes. A suivre !

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Souterrains de Lyon : Les Drainantes

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De retour dans les souterrains de Lyon et plus particulièrement dans les galeries Drainantes en compagnie de Martin, un urbexeur Lyonnais rencontré par le biais du site. En pleine refection, ces galeries sont monumentales et nous permettent de comprendre comment le service des balmes rénove nos très chers souterrains lyonnais.

Véritable chantier titanesque, la rénovation des Drainantes ne peut qu’émerveiller les explorateurs ayant la chance d’y pénétrer. Contrairement aux arêtes de poisson, il ne reste presque plus aucune de trace d’anciennes galeries. Ici, les ouvrirers creusent, renforcent et bétonnent à tout va. Par contre, ne vous imaginez pas qu’ils travaillent avec des foreuses ou autres machines modernes … loin de là.

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Après quelques pas dans les Drainantes, on tombe sur la gauche sur une première galerie. Au sol, des rails, comme de petits rails de chemin de fer et une plateforme tournante. Bien entendu, on se demande pourquoi ils sont ici. Après quelques pas, nous obtenons notre explication : une grande plateforme surmontée d’un immense seau jaune plein de terre sableuse trône au milieu de la galerie. Nous le contournons et arrivons sur un chantier en cours de réalisation.

Ce chantier consiste à poser de grandes arches métaliques dans les galeries qui ont été élargies pour l’occasion avant d’être comblées puis bétonnées. Le spectacle est magnifique et on ne peut qu’être admiratif devant les trésors d’inventivité déployés ; du grand art ! Dans les photos ci-dessous, vous pourrez voir tout cela en détail. Comme je vous le disais, vous remarquerez que, malgré ces tavaux, substistent encore quelques galeries non bétonnées.

En poursuivant notre exploration nous comprenons pourquoi ces galeries portent ce nom. La ville de Lyon débuta la construction de La Grande Drainante en 1932. D’une hauteur de 1.85 mètre, 1.2 mètre de large et d’une longueur de 1.2 kilomètre, elle transperce la colline de Fourvière d’un bout à l’autre ! Composée de neuf drains, ces derniers permettent l’évacuation les eaux afin d’éviter les poches d’eaux souterraines. On trouve donc dans les drainantes d’incroyables quantité d’eau. Pour la légende, une partie des eaux arrivant dans le souterrain mettrait plus de 1000 ans pour y parvenir.

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